Anxiété
Cela désigne un état peut être plus chronique que la « crise d’angoisse », difficile à contrôler. Les aspects psychologiques (inquiétude, pessimisme) sont au premier plan, même si les conséquences physiques de l’anxiété sont bien connues (tensions et douleurs musculaires, tendance à hyperventiler, c’est-à-dire à adopter une respiration haute, rapide et superficielle).
L’anxiété peut également se manifester de manière indirecte : irritabilité, fatigue, tensions musculaires, réactions de sursaut…
Il s’agit rarement d’une « peur sans objet » : on peut ressentir de l’angoisse en pensant à sa mort ou à celle des gens que l’on aime, on peut être anxieux et préoccupé à propos de difficultés bien réelles comme la maladie ou des problèmes financiers. Elles sont simplement une préoccupation inquiète de l’avenir, aiguë (l’angoisse) ou chronique (l’anxiété), et témoignent toujours du sentiment, plus ou moins conscient et justifié, de sa propre fragilité.
Le travail sera donc de cerner cette ou ces inquiétudes afin de pouvoir les objectiver, les minimiser et/ou les contourner.
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